Monde Mystérieux ... [ Clos ]

Je ne savais pas quoi dire devant cette immense chapiteaux. J'étais complètement envoûté par la force qu'il émané. Je fis le premier pas a l’intérieur et tout me paru plus facile, mais je ne devais pas me trouvais seul quand même.

- Y a quelqu'un ?!

Ma voix se faisait calme mais si grave a la fois. Je vis non loin d'une cage une bote de foin, je m'y dirigeais et me mis assis dessus. Dans la cage il n'y avait rien. Je trouve sa bizarre quand même pour un cirque, mais bon. J'étais bien la assis sur ma petite botte de foin, cette odeur me rappeler l'odeur de ma jument Starlette, un beau mustang tout noir. Je me mis dos contre la cage et commença a réfléchir, le destin ma conduit ici mais je ne sais pas se que je dois faire. Je suis un peu le garçon paumé de base, il faisait chaud ici. Bon j'enlève cette foutu chemise, je voyais un peu partout des bottes de foin un peu mis n'importe comment. Je ne savais pas quoi faire, alors a la place de rester la ici a rien faire, je vais aider a remettre de l'ordre. Sa me rappelais la ferme de Oncle Sam, toujours a l'aider mais j'adorais sa. Sa me faisais du bien de m'évadé loin de tout, loin de la vie de châteaux. Je me sentais a l'aise ici, comme chez moi. Je rangeais la dernière botte de foin et me mis assis par terre contre la cage. Je fermais les yeux en attendant que quelqu'un passe par la ...

Avec ardeur je m'avançais dans la brume du matin. Il faisait un froid de canard et ma jupe ne couvrait presque pas mes cuisses. Quoi de mieux qu'être coquette un jour de petite pluie ? Rien d'autre. J'étais déjà assez énervé comme ça, et je n'avais pas besoin d'une autre couche pour me rappeler que je venais de perdre mes animaux, mes bêtes de foire, mes artistes et mon spectacle. Il ne restait plus beaucoup beaucoup de temps avant que le chauffeur de notre train nous conduise en terre inconnu.

Voulant parler à Morfred, mon vendeur de billet saoul et galeux, des prix qui devait descendre les prix. Avec mon ombrelle sur l'épaule, me protégeant de la pluie qui trempait mes vêtements, qui faisait couler mon maquillage et qui faisait descendre mes jolies cheveux dorés, je me dirigeait vers la billetterie. C'était sans compter la carrure d'un homme assez musclé. Je n'étais pas d'humeur, et j'avais besoin de me défouler sur une personne. N'importe laquelle.

- Dis donc monsieur, muscle, bougez de la ou je vous colle un procès aux fesses !

J'ouvrais violemment la porte de l'écurie ambulante et refermant mon ombrelle bleu. Je pris ses cheveux dans ma main, et avec force, le plaquait contre la paroi. On aurait pu dire que je n'avais pas de force, que j'étais de ces dames qui n'ont pas de muscle. Mais des années de travaille, d'acharnement à s'en faire saigner les membres, je peux vous dire que ça vous forge beaucoup de force et un caractèr en béton.

Je vis une femme au loin, elle avait l'air remonté. Elle était pas mal en plus, très élégante et très mon style surtout. Sa démarche avait une classe rarement vu. Elle se rapprochais de moi et hurla.

- Dis donc monsieur, muscle, bougez de la ou je vous colle un procès aux fesses !

Elle ouvra la porte avec une violence que j'en fus surpris, pour prendre mes cheveux d'une main et de me collé la tête contre la paroi. Elle avait de la force pour une femme. Je lui pris les poignet et retira sa main de mes cheveux pour la plaqué contre la cage. Je ne comprenais pas son comportement, mais j'y pensais elle travaillé peut être ici ... Mes main sur chaque poignet collé a la cage et me tête non loin de la sienne. Je la lâchais et recula.

- Excusez moi, Madame ... Je suis Illusionniste, mon nom de scène est Love.

Je repris ma chemise et l'enfila doucement. Mon sac posé sur le sol. Je me mis face a elle et ...

- Que je suis impoli ! Je m'appelle Angel Hoffduckerk, je viens tout droit d’Allemagne.

Je la fixais droit dans les yeux, sans lui manquer de respect. J'attendais sa réponse ...

- Excusez moi, Madame ... Je suis Illusionniste, mon nom de scène est Love.

Alors ça ! Si il croyait que j'allais lui faire gentiment une place dans mon cirque, il se fourrait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude ! M'agresser ?! Moi ?! Pour qui il se prenait ?! Mes poignet me faisaient mal et les barreaux me rentraient entre les homoplates. J'aurais surement de bleu un peu partout. Je ne lâchai pas son regard quand il reculai. Je caressai ma douleur sur mes mains et lui fis comprendre qu'il me le payera très chère.

- Que je suis impoli ! Je m'appelle Angel Hoffduckerk, je viens tout droit d’Allemagne

Je sors mon ombrelle, en regardant cet homme bien étrange. Je ne voulais pas de lui, mais lui avait besoin d'un travail, donc de moi. C'est comme si l'atmosphère tournait autour de moi, quand j'ouvrais mon ombrelle. Je la pose gracieusement sur mon épaule, prenant le temps de le dévisager. Un vent se mit à souffler dans ce petit espace qu'était l'enclos réservé à un de mes pur sangs favoris.

- On me dit directrice de ce cirque. Je m'appelle Lucy Risis.

- On me dit directrice de ce cirque. Je m'appelle Lucy Risis.

Alors sa ... C'était la directrice de ce lieu et je venais de lui faire mal, je m'en voulais ... Je me frottais la tête pour trouver les bon mots car se que je venais de faire est ... pas très bien va t-on dire.

- Excusez moi Madame Lucy, enchanté de faire votre connaissance.

Je lui souriais, je restais la a la regardais, cette fille m'intriguais drôlement ... Je la trouvé extrêmement belle ... Elle me plaisait c'est vrai mais si c'est la directrice ... Je vais pas essayer.

- Je suis désolé de vous avoir fait mal ... Excusez moi.

Je lui pris la main et lui embrassa. Je reculais d'un pas et me mis a réfléchir a se qu'il pouvait m'arrivais ...

- Excusez moi Madame Lucy, enchanté de faire votre connaissance.

Je suis désolé de vous avoir fait mal ... Excusez moi.

Je pris la mouche et regardai dehors. Il pleuvait, et dans sa cabine de vente à ticket, l'énorme Morfred buvait comme un trou, sans ce rendre compte des heures passer à rêvasser. Il était aimable certe, mais on n'agresse pas une jolie fille. Je lève ma tête. Je ne peux pas sortir par ce temps, et mon ombrelle était en soie. Ma tenue aux rubans bleues seraient totalement fichu... Je referme sèchement mon accesoire et le pose sur une des parois. Je met les mains sur les hanches en dévisageant ce mystérieux jeune homme.

- Illusioniste hein ? J'aurais plutôt dit brute épaisse. Mais bon, ce sont des préjugés. Savez vous ce que vous risquez en entrant ici ...?

L'orage grondait et je ne me sentais aps en sécurité. Mais peut être discuter et mal traité ce chère Angel me serait une distraction des plus amusantes. En attendant la réponse, je relève mes jambières noires.

Elle détourna son regard et fixa se tourna vers le ciel, j'espère ne pas lui avoir fait peur ... Je ne sais pas comment me faire pardonner, il faudra que je trouve de toute manière, je ne peux pas rester la sans rien faire. Puis tout a coup, elle se retourna vers moi et me devisageais ... J'aimais pas sa mais venant de cette femme, je m'en moquais. Puis je ne devais pas faire une deuxième erreur ...

- Illusioniste hein ? J'aurais plutôt dit brute épaisse. Mais bon, ce sont des préjugés. Savez vous ce que vous risquez en entrant ici ...?

Les coup de tonnerre retentit et je vis que la jeune femme enfin Madame Lucy ne se sentait pas en sécurité, avait-elle peur de l'orage ? Je n’arrêtais pas de la fixer, surtout au moment ou elle remonta ses jambières ...

- A première vu, on pourrait y croire, dis-je en souriant avec une main derrière la tête, Mais je ne vois pas se que vous voulez dire chère Madame ... Je sais juste que je suis ici pour recommencer ma vie et accéder a ma passion, mais cela c'est a vous d'en décidez.

Elle était encore mouillé, je fouillé dans mon sac et sortis un grand manteau de fourrure bleu comme la nuit, ma mère me l'avait offert en revenant de voyage a Londres. Je m'avançais doucement et lui posa sur les épaules. Je ne voulais en aucun cas lui faire peur et encore moins lui faire du mal. J'avais un sourire particulier, très accueillant a première vue. Je me remis devant-elle, croisa les bras, relevais la tête et souffla un grand cou avant de lui dire.

- Si vous me permettez, vous êtes très belle, Madame Lucy.

Dans quoi je mettais encore fourré ... Lui dire sa, maintenant, qu'elle idiot. Elle va croire que je la drague a la fin. Enfin peut-être que pour une fois, quelqu'un me comprendrais quand je dis sa, et que cette personne soit cette Dame ...

- A première vu, on pourrait y croire, Mais je ne vois pas se que vous voulez dire chère Madame ... Je sais juste que je suis ici pour recommencer ma vie et accéder a ma passion, mais cela c'est a vous d'en décidez.

Si vous me permettez, vous êtes très belle, Madame Lucy.

Après avoir finis de remettre ma tenue en place, je m'occupais de replacer mes cheveux. Quel impertinant. Mais il pourrait bien me servir, pour des spectacle, ou même à l'exploitation. Sa dernière phrase m'avait laissé perplexe. Des hommes me disent ça, pour me charmer, mais la sincérité de sa voix était trop forte, trop grande. Je place mes mains sur mes hanches en dévisageant son minois allemand. Sa chevelure dorées brillaient et ses grands yeux bleues battaient sous des cils d'ors. Le manteau qu'il m'avait mis autour des épaules m'avaient tout aussi troublé. Ca faisait très... Gay ? Peut être était il de se rang là, qui sait. En tout cas, je n'avais aucun mal à accepter cette orientation de sexualité. Je trouvais ça rigolo, moi qui fricote avec des artistes en tout genre. La qualité de ce manteau était absolument fameux, et la douceur me faisait du bien.

- Je sais que je suis belle. Merci beaucoup.

La pluie ne faisait que rendre le terrain aride et boueux, alors je m'assis sur une botte de foin en soupirant.

- Montrez moi vos dons, Angel.

- Je sais que je suis belle. Merci beaucoup.

Je la regardais se blottir dans mon manteaux. Elle avait l'air de bien l'aimer se qui me fis sourire. Je la regardais replacer ses cheveux divin, et s'asseoir sur une botte de foin.

- Montrez moi vos dons, Angel.

Je lui souris et me metta au travail. Il fallait juste que je réfléchisse a se que j'allais faire car je n'avais rien apporter. Je fouillais dans mon sac et sortis un couteaux, enfin une couteaux suisse. Je me mis face a Madame Lucy et d'un coup sec et violent me le plantais dans le bras. Le sang coulais et je le remontais de plus en plus haut, jusqu’à mon épaule. Je le sortis de mon bras avec grace et a la place d'un simple petit couteaux suisse, apparu un grand katana. C'était un des tour les plus basique mais je n'avais que sa, j’espéré que sa aura plus...

- Cela vous a plus chère Madame ?

Je posais la Katana au sol, et me mis face a elle. Je regardais ses yeux d'une pureté incroyable. Elle était la femme parfaite... M'enfin bref, je ne suis pas la pour la complimenté. J'attendais de voir ses impressions...

- Cela vous a plus chère Madame ?

La main plaqué sur ma bouche, je me retiens de tout lui vomir sur les pieds. La vue du sang m'offensait, et on ne traitait pas une Dame en se plantant un couteau minuscule pour réapparaitre en une sorte d'épée. Je repliais mes doigts fins sur ma joue en regagnant ma nuque. Eh bien, c'est un tour qu'on ne m'avais jamais fais. Et c'était très peu. Je m'attendais à beaucoup mieux de sa part.

- Disons que c'est assez sanglant, et pour un illusioniste, vous n'êtes pas vraiment doué. Vous croyez que je recrute des amateurs ? Ici je cherche de la capacité à s'instruire et à s'adapter.

J'enlève son manteau bleu de mes épaule. Malgré la pluie, j'allais m'aventurer dedans. Si c'était pour essayer de rentrer dans ce cirque, c'était rater. Même si mes artistes s'étaient tous enfuit, je ne vais pas accepter du bon marché. Je recherche des perles rares.

- Progressez, et on se reverra dans quelques années. L'illusionisme demande du temps, de la précision. Et non du sang et un petit couteau.

J'ouvris la porte, attendant que peut être, il me fasse un autre tour qui pourrais enfin me couper le souffle.

Elle avait l'air horrifié par se tour, j'y suis allé peut être un peu trop fort... Elle avait l'air déçu, mais je ne pouvais pas faire mieux par ses conditions, enfin avec se que j'ai.

- Disons que c'est assez sanglant, et pour un illusioniste, vous n'êtes pas vraiment doué. Vous croyez que je recrute des amateurs ? Ici je cherche de la capacité à s'instruire et à s'adapter.

Elle retira le manteaux que je lui avais précédemment donné et s'avança vers la sortie.

- Progressez, et on se reverra dans quelques années. L'illusionisme demande du temps, de la précision. Et non du sang et un petit couteau.

Elle ouvris la grille, je ne me permettrais pas qu'une Damoiselle sorte sous cette pluie diluvienne. Elle avait raison sur une chose, je ne suis pas doué mais je devais la convaincre. Je m'avançais vers mon sac, fouillé a l'intérieur et sortis une boule a fumé. Parfait ! Je la jeta au sol et disparu pour atterrir dehors, en plein milieu de la court. Je sortis deux disque de mes manches et les jeta en direction du ciel. Il allé sans doute s'écrasé mais non, il flottait au dessus du sol. Je n'avais jamais réalisé se tour mais il fallait que je réussisse. Je mis un puis deux pied sur les disques. Je commençais a m'envolé dans les air, qu'elle sensation. Je devais me trouvé a dix mètres du sol, je sortis cette fois dix disques. Je les jetais juste devant moi pour que sa forme une sorte d'escalier, petit a petit je les descendais pour me retrouver face a Madame Lucy. Je claqué des doigts et tout les disques tombèrent au sol.

- Je ne prétend pas avoir du talent et n'y d'être le meilleur, je suis juste un homme parmis tant d'autre.

La pluie avait totalement mouillé mon corp, elle faisait ressortir les forme que j'avais sculpté par le passé. Je la fixé de façon très étrange, j'avais du mal a cerné cette femme. Elle m'intriguait fortement. Je resté la, sous la pluie en attendant qu'elle me dise se qu'elle en pensé.

- Je ne prétend pas avoir du talent et n'y d'être le meilleur, je suis juste un homme parmis tant d'autre.

Je souris doucement en le regardant droit dans les yeux. Sa perceverance et son talent m'avait impressioné. Le truc sanglant au début était très laid, mais ça avait été un beau spectacle, son tour de magie. Même si pour l'instant il se pavanait avec son jolie minois, avec ce cirque comme aide, il pourrait progressez et être un très bon illusioniste que le monde voudrait voir. Même si la vie d'ici est de planter un grande tente, se montrer en spectacle et ensuite repartir, ça avait du bon. Car combien d'enfant, beaucoup plus impressionant, voudrait être à sa place ? Des milliers. Car des rires de gosses, ça vaut tout l'or du monde. Ca vaut bien plus qu'être directrice.

- Je vous prend, mais il va falloir travailler, félicitation.

Je sortais de cette caravane sous la pluie, essayant de me battre avec mon ombrelle. Mais tant pis, je vais rentrer à la caravane.

- Votre compartiment vas être installé. je vous donnerais des draps et 100 francs quand j'aurais terminé de ranger. Vous voulez bien m'accorder congé ?

- Je vous prend, mais il va falloir travailler, félicitation.

Son sourire me faisais plaisir. J'avais étais pris, c'était formidable. Ma mère et mon père serait fier de moi, si il savait... Bref, je vais pas me démoraliser maintenant. Bien sûr que je travaillerais, sans relâche. Comme a mon habitude. Je n'ai jamais abandonné et c'est pas aujourd'hui que sa va commencé.

- Votre compartiment vas être installé. je vous donnerais des draps et 100 francs quand j'aurais terminé de ranger. Vous voulez bien m'accorder congé ?

Elle sortait sous cette pluie, avec son ombrelle ouverte. Je pris mon sac en vitesse et la rejoignit.

- Je ne vais pas vous laisser sous cette pluie Madame. Laisser moi vous raccompagnez.

Je lui tendais le bras pour qu'elle le prenne. Je la fixais, puis lui souris. Elle m'intriguais fortement. Je continué a la fixais en attendant se qu'elle me dise.

- Je ne vais pas vous laisser sous cette pluie Madame. Laisser moi vous raccompagnez

Je regardais d'un drôle d'air cette main tendu. Je n'avais pas besoin d'aide. Pas besoin de pitié. Pas besoin de me faire prier. Même si sa qualité de gentleman me touchait, je pouvais me débrouiller seule. Ne jamais faire confiance à un nouveau, ça peut être un voleur, un ennemi, un ami, un amant. Mais les nouveaux, il faut s'en méfier. Toujours.

- Ne crois pas que je vais te prendre le bras, tu sents aussi mauvais que l'enclos des éléphants.

Ici on me vouvois, ici je tutois. Ce sont mes règles, mon royaume, mon endroit. Ici, c'est moi qui dirige. Et mon frère. Mais sinon, c'est moi la chef. Je marche prudemment, vers ma caravane.

- Ce n'est pas "madame". C'est Madame LUCY, espèce de petit singe.

- Ne crois pas que je vais te prendre le bras, tu sents aussi mauvais que l'enclos des éléphants.

A vrai dire, je sentais un peu le fauve et non l'éléphant. Elle avait rejeté mon invitation, peut être de la méfiance, se que je trouve tout a fait normal. Je le regardé s'éloigné, sa démarche me fis sourire pour je ne sais qu'elle raison. Elle avait du caractère, sa c'est sur et c'est tant mieux.

- Ce n'est pas "madame". C'est Madame LUCY, espèce de petit singe.

Elle s'avançais doucement vers je ne sais ou mais ses paroles m'avais fais rire, en plus d'être intrigante, elle est marrante et a du style. Un sacré bout de femme cette Madame Lucy...

- Excusez moi... Madame Lucy.

Je la regardais s'éloigné de plus en plus, sans jamais la quitté des yeux avant de lui tournais le dos et de me dirigeais a petit pas, vers mon sac précédemment posé au sol. Je l'ouvris et sortis une photo... Papa et maman. Vous me manquez... J'étais accroupi et la pluie continuais de tomber. Je restais dessous pour avoir les idée clair, la fraîcheur de l'eau me faisais ressentir une sensation de liberté et j'en eu des frissons de plaisir. Aujourd'hui ma vie recommence, aujourd'hui j'ai trouvé ma voie...

La réflexions a assez duré, il faut que je visite un peu cette endroit et faire connaissance avec de nouvelle personnes, des talentueux artistes a mon avis. Je repris mon sac, ranger ma photos et repartit de plus belle. Dans les précipitations une photo, enfaîte l'unique photos de ma fiancé qui venait de mourir a cause d'une maladie incurable, tombait de ma poche et se glissa sous la cage au fauve... Je ne m'en rendis pas compte et continué a marché vers je ne sais ou...

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